Le système digestif du cheval est sensible, a fortiori si c’est un cheval de "compétition" qui enregistre différents stress liés à l’entrainement, aux courses, aux déplacements ...
Le cheval est un animal qui, par nature, vit en "troupeau" . L’isolement du box, aussi "luxueux" soit-il, le coupe de ses congénères et peut en stresser certains plus que d’autres. L’isolement se conçoit très bien chez l’humain, il en est de même pour le cheval. A l’instar de l’homme, le cheval qui stresse va s’exposer aux pathologies plus facilement qu’un cheval de tempérament serein.
...sont autant de résultantes d’un état de STRESS qui peut ne pas être pris en considération.
Dans l’œil ci dessous, un signe de "paresse digestive" est l’aplatissement de la pupille.. Cette faiblesse entraîne la non assimilation des nutriments , des vitamines en exposant les tissus du colon aux parasites, à la toxicité du corps tout entier. Le foie et les reins sont 2 organes surmenés et associés aux pathlogies digestives.
La nature de l’alimentation est évidemment un facteur clé du système digestif. La transition pré en été et foin, aliment déshydraté en hiver lui demande une adaptation qui n’est pas toujours facile.
Dans l’iris ci dessous, la pupille est également aplatie, mais une décoloration de la "collerette digestive" à proximité de la pupillle, donne des information sur les secteurs touchés
Un rappel développer dans la rubrique "empoisonnements" !
Ces deux produits présents dans certains VERMIFUGES sont toxiques pour le cheval
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